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l'auteur
Du même auteur sur ce site
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Des objectifs SOFT-FOCUS
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Wollensak | VERITO F4 |
USA | VERITAR F6 |
Veritar 354mm
formule optique du Verito
Rudolf KINGSLAKE les décrit comme une variation d’un l’objectif de type périscopique.
Wollensak présente le Verito comme un rectilinéaire
rapid
rectilineair dallmeyer
L'objectif est constitué d’un doublet arrière (correction de l’aberration chromatique) et d’un ménisque à l’avant ; on constate que la fermeture du diaphragme entraîne une augmentation de la profondeur de champ qui s’étend principalement en arrière de ligne sur laquelle la mise au point a été effectuée. Mieux vaut donc mettre au point sur le bout du nez plutôt que sur les yeux.
Les VERITO sont généralement fournis montés sur un obturateur STUDIO ne comportant que la pose ‘B’. Une bague permet de limiter l’ouverture des pales de cet obturateur, qui fait donc office de diaphragme.
Les VERITAR sont plus récents, montés sur un obturateur ALPHAX permettant la pose ‘T’, ‘B’ et la demi-seconde jusqu’au 1/50ème. Ils sont pourvus d’un vrai diaphragme s'étalant de F6 à F32. Entre F6 et F8, 5 positions supplémentaires sont prévues, permettant donc un total de six flous différents. Dès F8, l’objectif commence à se comporter comme un objectif traditionnel, sans pourtant jamais obtenir une très grande définition (même au diaphragme min. de F32).
Exemples d’images :
Veritar sur Sinar
Ici, c'est le choix du diaphragme qui permet de limiter les aberrations Entre F6 et F8, cinq autres crans sont prévus.
ci-après les résultats du Veritar à F6 , puis F6-1 à 5
on peut obtenir une image agrandie en cliquant sur chaque imagette
et ceux obtenus avec le Veritar de F8 à F32
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L'objectif est une combinaison de 2 lentilles en 1
groupe formant achromat. Les Imagon furent fournis en 120, 150, 200,
250, 300, 360 mm, 420 et 480mm. Jusqu’au 360mm, ils se rencontraient
aussi bien montés avec que sans obturateur.
Leur présence au catalogue fut très longue, puisqu’on les y vit d’abord montés sur compound, puis sur compur, copal et prontor. Le 360mm était monté sur compound 5 (vitesse
limité au 1/50ème) et disparu du catalogue lorsque les compound ne furent plus
fabriqués. |
imagon-250-et-360
Les 120 et 150mm étaient destinés aux moyen-format (6x6 à 6x9). La firme ZORK a réalisé un adaptateur permettant le montage du 200mm sur le fût du 180mm destiné au RB67.
Publicité pour les Imagon
La particularité de cet objectif réside dans son utilisation possible avec le diaphragme traditionnel inséré dans l’obturateur (pour les versions avec obturateur), ou avec des diaphragmes fixes (au nombre de 3) à monter sur l’avant de l’objectif.
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Ces disques troués comportent, en plus, une série de
petits trous périphériques qui peuvent être plus ou moins obturés.
Certains n’hésitent donc pas à parler de diaphragme "passoire" ou
"presse-purée". Lorsque ces trous périphériques sont ouverts, ils se comportent comme autant de diaphragmes qui viennent surimposer leur image à celle formé par le trou central. Le différentiel entre la taille des trous périphériques et celui central induit une impression de flou différente. |
Les trous périphériques apportent aussi des rayons
provenant d’une direction différente de celle du trou central. Ces rayons
marginaux ne forment donc pas leurs points au même endroit que ceux provenant du
trou central (aberration de sphéricité oblige) et induisent donc plus de ‘soft
focus’
Sur une image prise avec les trous périphériques ouverts ou fermés se dégage une
impression de ‘vaporeux’ ou pas, qui peut être utilisée pour créer une
atmosphère particulière.
En théorie, s’agissant d’une optique sans lentille qui se déplace, la mise au
point devrait rester identique quel que soit le disque utilisé, mais en
pratique, des aberrations résiduelles imposent de refaire la mise au point.
La règle est donc de faire la mise au point dans la situation de prise de vue
finale.
Dès que l’on diaphragme largement (pour les Imagons montés sur obturateur
s’entend), les résultats obtenus se rapprochent de ceux d’un objectif
traditionnel.
En condition de fort contrejour, les hautes lumières sont entourées d’un ensemble de petits points correspondants aux trous périphériques. Ceci peut ne pas toujours être du meilleur effet : autant le savoir !
Tant que les disques « presse-purée » restent fermés, la règle de la focale divisée par le diamètre de la pupille d’entrée est correcte. Par contre, une fois ces disques ouverts, de la lumière entrent également par les trous périphériques. Rodenstock a donc indiqué sur ces disques "à passoire" les diaphragmes relatifs sous forme Max-Min, comme suit :
Disque Ouvert | Disque Fermé | |
Disque 1 | 5,8 | 7,7 |
Disque 2 | 7,7 | 9,5 |
Disque 3 | 9,5 | 11,5 |
Autres exemple d’images (Imagon 250mm) :
Série sans disque, avec diaphragme ouvert -au maximum - à moitié - au minimum
Série avec disque 1 à 3, en haut : ouvertures "passoire" ouvertes et en bas, idem avec ouvertures fermées
Cet objectif, fabriqué par MEYER à Görtlitz, est un triplet classique, qui présente pourtant un certain caractère soft entre F4.5 et 5.6. Plus diaphragmé, il devient un objectif traditionnel.
Son piqué n’a, à diaphragme équivalent, par quand chose à envier à l’Artar.
Pour information : une version TRIOPLAN PORTRAIT fut proposée aux professionnels. Elle comportait un mécanisme permettant de déplacer la lentille centrale, comme sur les Universal Heliar ou Labor
Voici les résultats obtenus avec le Trioplan :
Trioplan 300mm
Haut : F4.5 – 5.6 – 8
Bas : F11 – 16 - Décalé : Artar 300mm F11
Cet objectif est composé de 2 groupes identiques placés de part et d’autre du diaphragme
L'objectif présente une conception datant d’avant 1900, mais il a été fabriqué après cette date. Ceci pourrait s’expliquer par le fait que, pendant une période de transition, il ne fallait pas contrarier les adeptes habitués aux indices français. Une numérotation double apparaît dès lors face au repère de la bague des diaphragmes :
- la numérotation française d’avant
l’uniformisation « CONGRES »(1)
;
- l’équivalent selon les normes « CONGRES »
On lit donc
F4.5 | 5 | 6.8 | 10 | 14 | 20 | 28 |
0,20 | 0,25 | 0,46 | 1 | 2 | 4 | 8 |
(1)
Congrès international de Paris de 1900
Dans ce système français, le chiffre de départ est le 1 qui correspond à F10.
Les autres nombres représentent le coefficient relatif d’exposition à utiliser.
Ainsi, si l’exposition optimale se situe, pour le diaphragme de référence,(soit
1), au soixantième de seconde, il sera de un quinzième de seconde au diaphragme
4 ( 1/60 : 4) et d’un deux cent quarantième au diaphragme 0,25 (1/60 : 0,25)
Hermagis 270mm de f 4,5 à f 28 :
Composé de deux groupes symétriques, et corrigé de l������������������aberration chromatique, il ressemble à un rectilinéaire. Fabriqué initialement par Hermagis (avec diaphragme à vannes), sa production fut continuée lors de la reprise par les Ets. SOM BERTHIOT. Modernité oblige, le diaphragme à iris remplaça celui à vannes.
Ce diaphragme porte les numérotations : 4.5 - 5 – 6 – 7 – 10 – 14 – 20, de façon similaire donc à celles portées sur l’anatisgmat N° 6 d’ Hermagis décrit ci-dessus ( F4.5 – 5 – 6.8 – 10 – 14 – 20 – 28
Voici les résultats obtenus de F4.5 à 7 en haut et de F10 à 20 en bas :
Comparé à d’autres objectifs "soft-focus", même diaphragmé, il n’atteint jamais une très haute définition.
Montres photographiées avec l’Eidoscope 375 mm à F14
Cet objectif est constitué d’une seule lentille à plan convexe et d’un filtre jaune-léger à l’arrière. Il tire donc nécessairement parti des aberrations de sphéricité et de chromatisme. Aucun diaphragme n’est prévu, de sorte qu’il ne s’utilise qu’à pleine ouverture (F4) ou à l’aide d’un filtre gris-neutre. Il engendre donc, pour les pellicules modernes, un flou (trop) important non-contrôlable.
L’usage d’un filtre coloré n’est pas anodin : il permet d’atténuer certaines composantes du spectre des couleurs et plus particulièrement, s’agissant d’un filtre jaune, sa couleur opposée qui est le bleu. Cet objectif devait donc principalement être utilisé avec de la pellicule noir & blanc non-panchromatique.
La « raie » jaune impressionne donc principalement la pellicule, tandis que la bleue est atténuée par le filtre jaune et que la rouge reste plus ou moins absente (film ortho).
Pareil objectif a récemment été mis en vente sur internet, mais portait une autre appellation : Simon KRONAR – Dresden.
En page 106 de son livre, Rudolf Kingslake n’est pas très élogieux à son égard et déclare que ses 5 lentilles ne valent pas mieux que les 3 du triplet de Cooke dont il ne serait qu’une déclinaison.
Cooke-triplet
D’autres le présentent comme un excellent objectif très bien corrigé de l’astigmatisme et du coma, avec champ plat et au très bon piqué. L’absence d’aberration de coma rendrait l’image plus brillante.
En tout état de cause, cet objectif a bénéficié d’une grande aura.
Il s’agit d’un Heliar traditionnel dont la lentille centrale divergente peut se mouvoir, d’avant en arrière, à l’aide d’une bague. Plus on écarte la lentille centrale de celle d’arrière, plus l’aberration de sphéricité devient présente.
Heliar - vue interne
Comme tout objectif atteint d’aberration de sphéricité, la fermeture du diaphragme en atténue l’apparition.
Même diaphragmé, cet objectif permet malgré toute d'induire encore un flou plus ou moins léger.
La modification de positionnement de lentille apporte également une modification du champ embrassé par l’objectif. Plus on avance la lentille vers le groupe avant, plus le champ embrassé augmente et inversement. Cette modification entraine également une obligation de refaire la mise au point.
L’angle de champ des heliar est limité à approximativement 46°.
Ceci explique, par exemple, que le 300mm n’était recommandé que jusqu’à 6 ,5 x 8,5 inches et qu’il fallait au moins un 420mm pour couvrir le 8x10 inches.
Les universal - heliar furent fabriqués de 1902 jusque dans les années 1960. Leurs formules optiques firent l’objet de plusieurs révisions au cours de leur existence.
Une avancée optique appréciable fut réalisée en modifiant la version initiale de l’Heliar. Cet objectif modifié fut baptisé DYNAR, mais, suite à l’aura dont l’Heliar était parvenu à s’affubler, ne parvenait pas à s’imposer. La petite histoire dit que des DYNAR furent dès lors commercialisés sous l’étiquette HELIAR, au plus grand bonheur de leurs utilisateurs…. Qui sait ?
Exemples d’images :
La mise au point a été effectuée après chaque changement de la bague SF
Ci-après les résultats à F 4,5 :
Ci-après les résultats à F 9 :
Heliar 240mm – F16
Heliar 360mm – F12
Labor 250 et 440mm
Le Labor est un anastigmat comportant, à la manière de l’Heliar, une lentille divergente entre les groupes avant et arrière. Une bague marquée NET – FLOU 1 à 5 – FLOU permet de disposer de 7 positions au total. Plus on écarte la lentille divergente du groupe arrière, plus on détériore la correction de l’aberration de sphéricité et plus on introduit donc de « soft focus ».
Le Labor était fabriqué par « OIP GAND » (Optique et Instruments de Précision à Gand / Belgique).
OIP Gand fabriquait principalement du matériel militaire, mais aussi quelques objectifs destinés aux photographes professionnels, tels que ce LABOR, et des MIRROR (style Tessar).
Le LABOR équipait de nombreuses chambres de studio et constituait un objectif « à tout faire ». Très piqué lorsque la bague de soft-focus était positionnée sur NET; il faisait apparaître un flou très progressif sur les 6 autres crans.
Exemples d’images :
Mode Soft Focus sur le 250mm à f 6.3
La bague prévoit 7 positions marquées (NET - Flou 1 à 5 - FLOU) :
Mode normal sur le 250mm : résultats à F4.5 - 6.3 -9 -12 - 18 - 25 et F36
Citons encore quelques autres objectifs
Cooke Soft-focus
Boyer : Opale (dont le soft focus serait principalement issu de l’aberration chromatique).
Gundlach : Hypérion
Graf : Graf variable
Ross : Rapid Portrait
Kodak : Portrait lens
Emil BUSCH : Nicolas PERSCHEID (renseigné comme tirant parti des 2 aberrations : chromatique + sphéricité)...
Focale | Eléments Groupes |
Couverture | Cercle Img F22 | Angle | Diaphragme Max/Min | Obtu |
150mm | 3 / 3 | 4x5 | 170mm | 53° | 4 / 45 | # 1 |
200mm | 3 / 3 | Cabinet | 195mm | 50° | 4 / 64 | # 3 |
Image du site Yamasaki Optical Co ltd
Image du catalogue Fuji
Focale | Eléments Groupes | Couverture | Cercle Img F22 | Angle | Diaphragme Max/Min | Obtu |
180mm | 3 / 3 | 4,25x5,5 | 200mm | 58° | 5,6 / 22 | # 1 |
250mm | 3 / 3 | 8x10 | 300mm | 58° | 5,6 / 22 | # 3 |
Image du catalogue Fuji
Notons d’abord que ces derniers sont « multi-couches » et prévus pour l’usage de pellicules couleurs et noir & blanc actuelles.
Parmi les objectifs actuels, destinés principalement aux moyens formats, citons :
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Cet objectif est sous-corrigé des aberrations sphériques L’effet « SOFT FOCUS » se règle via la bague des diaphragmes qui comporte, de 3.5 à F8, des demi-crans. De la sorte, un dosage précis de la diffusion est possible (3.5 – 4 – 4.5 – 5.6 – 6.3 – 8). Différentes manières de le mettre au point sont
préconisées, dont les 2 suivantes : Au-delà de F8, il commence à se comporte comme un objectif normal. Caractéristiques : |
Exemples obtenus avec cet objectif :
F3.5 – F4 F4.5 – F5.6 F6.3 – F8 F22
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Formule optique : 5 éléments en 3 groupes Livré avec 3 grilles « à passoire » dont les orifices périphériques peuvent être obturés en faisant usage du diaphragme normal intégré à l’obturateur. Le placement d’une grille « passoire » nécessite le démontage du groupe avant. A partir de F8, il se comporte comme un objectif traditionnel.
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Cet objectif dispose d’une bague SOFT FOCUS qui
déplace 2 groupes de lentilles. Plus ces groupes s’écartent du groupe qui
précède (ou suit), plus l’aberration de sphéricité laisse apparaître ses effets. Combinée avec le diaphragme, on dispose d’une multitude de possibilités pour doser le flou. La bague de mise au point est spécialement étudiée de manière à ce que lorsqu’on la tire vers l’appareil, le diaphragme se ferme à environ F8. C’est à cette ouverture qu’il y a lieu de faire la mise au point. Dès qu’on relâche cette bague, le diaphragme se repositionne à l’ouverture présélectionnée. |
Exemple de résultats obtenus :
De gauche à droite : point bleu (soft minimum) point rouge (soft moyen) point orange (soft au maximum). De haut en bas : F4 – F5,6 – F8 – F11 et F22
Dès F11, l’objectif ne présente plus d’effet « soft-focus ».
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Cet objectif fait usage d’une grille « presse purée » à l’instar de l’Imagon. De même formule optique que celle utilisée pour les optiques de chambre Fuji SF 180 et 250mm dont question il est question ci-dessus. L'appareil comporte 3 lentilles en 3 groupes, présente un angle de 27.9° et une mise au point minimale (avec rail de base) de 150 cm, F 8 max. |
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Réalisés par des firmes indépendantes, ils permettent
leur montage sur Hasselblad, Mamyia RB67, Bronica ou Rollei
Ici représenté, le tube intermédiaire - fabriqué la firme Zörk – permet le montage de l’imagon 200mm sur l’obturateur de l’objectif 180mm destiné au Mamiya RB67. |
Bien qu’il ne s’agisse pas d’objectifs pour grand- ou moyen-format, quelques informations au sujet de ces objectifs ne sont pas à dédaigner :
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Cet objectif comporte une bague supplémentaire « soft focus » à 3 positions qui assure le déplacement d’un groupe de lentilles. La position normale n’affecte l’image d’aucun caractère SF, tandis que les 2 autres permettent l’obtention d’un effet SF léger ou plus accentué. Un système de cran permet d’éviter de passer par inadvertance de la position "Sans SF" aux positions "avec SF".
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Caractéristiques :
Focale : 135mm
Ouverture maximale : f/2,8
Construction optique : 7 éléments en 6 groupes
Angle de champ diagonal : 18°
Mise au point : par moteur AFD débrayable
Distance de m.a.p mini : 1,30 m
Diamètre filtre : 52 mm
Résultats obtenus :
- de gauche à droite : Sans SF – avec SF en position 1 – avec SF en position 2
- de haut en bas : F2.8 – F4 – F5.6 et F8
zoom 75-150mm SF (installation via bague adaptall 2)
(adaptation via bague T2 – diaphragme particulier à secteurs rotatifs )
Mise au point minimale : 80 cm
Focale : 90 mm
Diaphragme : à segments de F4 à F11
Il est destiné au format 24x36 ! Sur un capteur de type APS-C, il est
quasi-inutilisable tant le "soft" est prononcé.
NB : images issues du site du fabricant
Résultats obtenus à :
F4 et F5.6
F8 et F11
Comparaison avec le 24/105 L à 105mm et F5
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NB : les multi images des exemples ont été réalisées à l’aide d’un EOS5D monté sur chambre SINAR Norma, ou sur une NARITA 18x24cm dans le cas de l’Eidoscope. Les résultats obtenus ne sont pas, par conséquent, totalement similaires à ceux qu’on obtiendrait avec une pellicule photographique couleur / N&B panchro / N&B Ortho, mais permettent quand même de se rendre compte, au travers des séries d’images identiques et/ou par comparaison d’un objectif à l’autre, du rendu qu’il est permis d’en attendre.
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- Lens Vade Mecum – Second Edition
- A
history of the photographic lens – Rudolf Kingslake – Ed AP - Academic Press
-
Optique et prises de vues – Alain Monclin – Ed. FEMIS
- Fotografische Optiek – Artur Cox – Ed FOCUS
- L’objectif photographique – Robert Andréani – 1et 2ème Edition – Ed Francia
- Het objectieven boek – Rudolf Smit – Ed FOCUS
- Publicités d’époque : Rodenstock – Voigtländer – O. Zwierzina – H. Meyer –
Hermagis
- Manuels Pentax – Mamiya – Fuji – Canon
- Brochures et livrets du musée de la photographie d’Anvers - Belgique
- Divers forums de discussion en langue française, anglaise ou allemande dont
celui de Galerie-Photo
TRIOPLAN = marque de la firme Hugo MEYER
HELIAR / UNIVERSAL HELIAR ( = marques des Ets VOIGTLANDER & repreneurs DYNAR )
IMAGON = marque de la firme RODENSTOCK (actuellement LINOS)
EIDOSCOPE = initialement, marque des Ets HERMAGIS, puis de SOM BERTHIOT
VERITO / VERITAR = marques des Ets. WOLLENSAK
LABOR / MIRROR = marques des Ets. O.I.P. GAND
CONGO SF = marque de YAMASAKI OPTICAL Co Ltd – Tokyo
DREAMAGON = marque des Ets MONO-C / MONOCHROM – Kassel - Germany
PENTAX = marque de Asahi Optical Co Ltd
MAMIYA
CANON
THAMBAR = marque de la firme LEITZ
TAMRON
FUJINON / FUJI = marques du groupe de sociétés FUJIFILM / FUJINON Inc.
NB : certaines autres marques sont citées, avec mention directe dans le corps du
texte, de leur fabricant, distributeur ou exploitant.
Bernard SULMON Mouscron – Belgique Version 6 – 04.07.2009
Du même auteur sur ce site
chambres Plaubel
Des appareils reflex moyen et grand formats
des objectifs soft-focus (objectif à flou artistique)
les chambres linhof technika
reconnaître les cames pour Technika
dernière modification de cet article : 2009
tous les textes
sont publiés sous l'entière responsabilité de leurs auteurs |
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une réalisation phonem |
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